Nettoyage du foie et de la vésicule biliaire

 

La première fois que j'ai découvert cette technique, c'était sur un site pas très connu et en anglais alors autant dire que pour la conversion des mesures...pas évident. Aujourd'hui, on trouve cette information sur plusieurs sites en français et je tenais à l'incorporer à celui-ci pour plusieurs raisons :

1) Ce nettoyage aide le corps durant le processus d'énergisation solaire. Il permet à certains désagréments, comme l'haleine fétide par exemple, de se faire plus rare ou de disparaitre plus rapidement. En outre, un corps nettoyé, vide, laisse mieux circuler l'énergie à l'intérieur de celui-ci et vous allez sentir la différence et le bonheur consécutif à cela (d'agréables fourmillements chauds, les effets de l'énergie, vous parcours le corps dans des lieux où vous ne les aviez jamais sentis avant, pour cause, c'était plein de déchets !). En effet, parfois, c'est important de le souligner, la sensation de faim semble être déclenchée par une détoxication du corps ou une entrave de celui-ci, qui peut donner envie de se nourrir. Pour faire simple, on a "mal au foie" comme on dit, on pense alors que c'est parce qu'on a faim et qu'il faut que l'on mange. C'est une interprétation tout à fait personnelle et qui vaut ce qu'elle vaut. Moi en tout cas, ça m'aide et c'est pour ça que je veux le partager avec vous.

2)D'une part cette technique nettoie le foie et la VB, mais en plus elle nettoie les intestins

3) Je souhaitais que soit mise à disposition cette méthode qui peut éviter l'opération chirurgicale et l'ablation de la vésicule biliaire. Les médecins se gardent bien de le dire et si l'information ne transite pas au sein de nos hôpitaux alors c'est à nous de la faire transiter parmi nos connaissances pour qu'un jour, peut être, des vésicules biliaires ne finissent pas à la poubelle !. Elle est importante en médecine chinoise et un dicton dit là- bas d'une personne peu courageuse ou avec peu d'entrain qu'elle à "une petite vésicule" !. Pour notre médecine, elle n'est pas très utile, donc on peut l'enlever sans problème (si la nature la placée là, dans notre corps, ce n'est pas pour faire jolie pourtant ;-) )

Ce que vous allez voir au cours du nettoyage va vous étonner, comme celles et ceux qui l'ont pratiqué je pense. On sort des choses du corps dont on ne soupçonnait pas qu'elles puissent dormir là depuis des années !.

calculs

deux gros calculs durs nettoyés, photo Annie Ollivier

Le détail de la traduction de cet extrait ci-dessous est tiré de ce site avec lequel je n'ai aucun lien direct :

http://artdevivresain.over-blog.com/article-5140633-6.htm

 

En route pour le grand nettoyage

Avertissement préalable

Chacun qui décide de faire une cure doit lui-même préalablement se documenter et vérifier les informations. Dans le doute, il doit consulter son médecin.

En tout état de cause, sauf de se faire médicalement suivre, il doit totalement lui-même assumer la responsabilité de son action curative sur lui-même!

La préparation

Il faut boire beaucoup et manger le plus légèrement possible 3 jours avant la cure.

Le jour du nettoyage il convient de complètement cesser de s’alimenter à partir de 14 heures (vous n'aurez pas faim ensuite de toute façon, vous verrez !).

Que faut-il?

-    4 cuillérées à soupe (ou sachets) - soit environ 60 grammes - de Sels d’Epsom (vendus en pharmacie). Le nom scientifique est « sulfate de magnésium heptahydraté ». Cela se présente, en général, en sachets de 8 grammes correspondant à une demi-cuiller à soupe. [1]

Un "curiste" fait observer: "Les sachets que j'ai achetés étaient marqués 30g chacun soit exactement 2 cuillerées à soupe chacun; donc 4 c à S = 60g (j'ai même pesé pour être sûr). Donc 32 grammes ne suffisent pas."

-    125 ml - ou 12,5 cl - d’huile d’olive vierge (bio, de préférence!) de première pression à froid.

-         2 (ou 1 gros + 1 petit) pamplemousses roses., nécessaires pour obtenir 150 ml (= 15 cl) de jus, soit un verre et demi.

-  Teinture-mère de noix, 10 à 20 gouttes (en vente chez les herboristes et les pharmacies homéopathiques).

-         Somnifère naturel (éventuellement), du genre valériane officinale ou mélatonine, mais cela n’est pas indispensable pour tout le monde ; c’est juste si l’on craint de ne pas dormir après la cure…

-         Grande passoire en plastique (pas indispensable pour la cure mais utile pour faire le tri et repérer les «petits pois verts»).

Comment s’y prendre?

Chaque étape doit être bien respectée.

Étant donné que la cure provoque une forte diarrhée, un accès «inconditionnel» aux toilettes, sèches ou pas, est à prévoir…

Donc, après le repas de midi, il convient de ne plus absorber de nourriture solide ou liquide.

Les quatre cuillers à soupe de Sels d’Epsom sont à bien mélanger à 750 ml (= 75 cl) - soit une demi-bouteille de 1,5 litre - d’eau potable.

Les Sels d’Epsom ont pour effet de provoquer l’ouverture des différents sphincters des canaux biliaires, ce qui prévient toute douleur lors de l’expulsion des calculs.

C’est presque comme une opération chirurgicale, sauf que, comme pour les « guérisseurs à mains nues », il n’y a ni anesthésie ni bistouri ni plaie ni sang ni cicatrice et, quant à l’état général, que du bénéfice.

Quatre portions égales (correspondant à huit sachets de huit grammes chacun) sont donc à prévoir. Si l’on craint le goût on peut les mettre au réfrigérateur, car le froid endort les papilles gustatives…, mais, à dire-vrai, cela n’est pas non plus indispensable, car il y a des mixtures bien plus difficiles à avaler que cela!

L’huile d’olive, elle, doit être conservée à la température de la pièce; sinon, elle se figerait.

À 18H, boire la première des quatre portions de ce breuvage. Éventuellement, si l’on a trouvé cela particulièrement désagréable, se rincer la bouche après, mais rien d’indispensable.

Sortir les pamplemousses du réfrigérateur.

À 20H, boire une deuxième portion de Sels d’Epsom.

La réaction de chacun est, bien sûr, différente, mais il est déjà possible d’avoir besoin d’évacuer dans les deux heures qui suivent…

À 21H45, verser les 125 ml d’huile d’olive dans un pot. Surtout s’ils ont été au réfrigérateur, passer les pamplemousses à l’eau chaude et les presser pour en extraire le jus. Il faut entre 125 ml et 200 ml de jus. Ajouter le jus fraîchement pressé à l’huile d’olive. Ajouter aussi la teinture de noix. Fermer le couvercle du pot et vigoureusement secouer pour bien tout mélanger.

À 22H, avaler le mélange d’huile d’olive et de jus de pamplemousse, éventuellement associé au somnifère naturel, le tout de nouveau vigoureusement secoué. L’avalement doit impérativement se faire DEBOUT.

Ce mélange s’avale très bien. Le jus de pamplemousse à pour effet de scinder les molécules grasses de l’huile d’olive, ce qui donne une texture très liquide au mélange. Le goût du pamplemousse prime sur celui de l’huile d’olive.

Plus vite c’est bu, mieux c’est! Moins de cinq minutes est bien; pour un résultat optimum ne pas dépasser un quart d’heure.

Ensuite, se coucher tout de suite pour une bonne  nuit de sommeil, si possible sur le côté droit, ou bien sur le dos, la tête sur l’oreiller, complètement immobile pendant au moins vingt minutes. Il est bon de se représenter son foie en train de se nettoyer, tandis que l’on se laisse agréablement aller à un bienfaisant sommeil.

Pendant celui-ci, les calculs ou pierres – les «petits pois verts» - vont se dégager des canaux biliaires pour ensuite s’acheminer vers les intestins.

Le lendemain matin, au réveil, mais pas avant 6H, prendre la troisième dose de Sels d’Epsom.

En cas de besoin d’aller «vidanger», il convient d’utiliser la grande passoire comme filtre, afin d’y récupérer les fameux «petits pois verts», car c’est eux qui seront la preuve, le signe tangible, de l’utilité et de l’efficacité de la cure.

Deux heures après la première prise matinale, prendre la quatrième et dernière dose de Sels d’Epsom, ce, après quoi, si l’on en ressent le besoin, il peut être bienvenu de se recoucher…

Encore deux heures plus tard, il est possible de recommencer à manger. Il est bon de commencer par un jus de fruit, de préférence frais.

Une demi-heure plus tard, il est possible de reprendre son alimentation régulière normale, mais, après cela, il convient, bien sûr, de manger légèrement.

Déjà, il est possible de se sentir nettement mieux.

Apparence des calculs

Les calculs évacués, à cause de leur haute teneur en cholestérol, flottent souvent. Leur couleur varie de l’ocre au vert pois. Plus ils contiennent de bile et plus ils tirent sur le vert pois. Leur texture est variable: plus ils sont anciens plus ils sont durs; plus ils sont récents plus ils sont mous.

Il arrive aussi que les canaux biliaires contiennent des cristaux de cholestérol pas encore transformés en pierres et qui flottent à la surface de l’eau sous l’aspect de paillettes de couleur ocre.

Conclusion

Bien conduite en fonction des recommandations des spécialistes, cette cure est quasi-totalement dépourvue de risques.

En particulier, il ne faut pas oublier la teinture-mère de noix, dont l’objectif est de tuer les parasites libérés par la cure et qui pourraient ensuite intoxiquer les intestins.

Après le nettoyage, des lavements sont éventuellement aussi indiqués, afin d’être sûr qu’aucun «petit pois vert» ne reste à polluer l’intestin. Les calculs sont, en effet, poreux et remplis de toxines accumulées.

Pour un nettoyage plus en profondeur, il est bon de répéter la cure encore deux semaines plus tard… Il est possible et même fréquent que de nouveaux calculs se trouvent ainsi libérés.

Il semble assez fréquent que ce soit des centaines de calculs (de 200 à 500) qui soient ainsi expulsés!

Naturellement, pour que le bien-être associé à la cure perdure, il est souhaitable de manger moins et mieux, d’opter le plus possible pour une nourriture végétale, de bien mâcher («Buvez vos aliments!», disait Gandhi) et de boire beaucoup entre les repas…